Lors des Rencontres organisées les 7 et 8 mai 2023, avec les adhérents et membres des groupes de travail, nous avons notamment partagé nos points de vue sur les modalités des activités, lors de cette première phase de test.
Vous trouverez ci-après les citations des participants :
« Être acteur c’est fondamental, reformuler oralement ou par écrit permet de structurer ce qu’on a compris, et de valider ce qu’on a compris et mémorisé, avec les autres et avec Dominique. »
« C’est en travaillant ensemble qu’on progresse le plus. Le travail en groupe permet de découvrir des notions (comme le détachement – nekkhamma, notion sur laquelle je n’avais jamais travaillé), et d’approfondir réellement des notions que l’on croyait connaître (comme les 5 agrégats d’attachement). »
« J’ai plus progressé en trois mois qu’en plusieurs années à écouter des cours. »
« Travailler en groupe c’est mieux que travailler seul car on aborde les sujets différemment, on a des compréhensions différentes, des questions différentes, des perceptions différentes. »
« On n’est pas tous au même niveau, il y a des pratiquants et des non pratiquants, le dialogue fonctionne bien, il est ouvert, constructif. »
« Le travail par nous-mêmes avec les échanges entre nous est très enrichissant. On voit que chacun comprend différemment, on n’a pas tous les mêmes questions. »
« Partir d’une question posée par un(e) des participant(e)s permet d’avoir une approche concrète et plus personne, de la notion. Selon la question, on va être plutôt dans l’approfondissement et la mise en pratique de la notion, ou plutôt dans l’étude plus ‘intellectuelle’ de la notion. »
« Les textes, c’est précieux, car ça cadre l’étude. L’introduction du thème par Dominique est nécessaire, et sa présence à certaines réunions est précieuse pour éviter qu’on se fourvoie dans des directions qui n’en valent pas la peine, et pour vérifier qu’on a bien compris. »
« Ce sont en quelque sort des ‘travaux dirigés’ : on est acteur et autonome dans l’apprentissage, mais on n’est pas livrés à nous-mêmes non plus, la formulation de la question, le choix des textes, les interventions de Dominique, forment un cadre précieux et stimulant. »
« Ce qu’on aime, c’est l’autonomie de travail : les membres du groupe décident eux-mêmes de la durée des réunions, de leur périodicité, de leur nombre, de leurs dates et créneaux horaires. C’est précieux aussi car le groupe travaille à son rythme, et en fonction des disponibilités et contraintes de ses membres. Néanmoins, il est important d’avoir des réunions assez régulières pour ne pas perdre le fil de la réflexion. » (Selon les groupes, il y a eu en 3 mois 5 à 7 réunions. De 1h30 dans le groupe de lecture, de 2h dans les groupes d’étude et de réflexion)
« J’ai apprécié un rythme de réunions assez soutenu (toutes les 2 à 4 semaines) : motivation utile, des échéances assez courtes obligent à travailler entre les réunions, et ça permet de garder le fil. »
« Des petits groupes c’est bien car cela permet d’aborder des choses personnelles, de dire plus facilement quand on ne comprend pas, de poser des questions. »
« Je m’étais inscrit comme étudiant à deux groupes de travail, je ne le ferai plus car c’est trop lourd, cela demande trop de temps, et ce n’est pas facile de jongler entre deux thèmes. Il vaut mieux bien approfondir un seul thème. » (avis partagé par toutes celles et ceux qui ont essayé de participer comme étudiant à 2 groupes. La plupart ont abandonné l’un des deux groupes au fil du temps, à regret).
« C’est très intéressant de participer aux rencontres et d’écouter les restitutions, même si on n’a pas participé aux groupes. »
Nous avons également réfléchi aux axes d'amélioration, et bien sûr il y en a, que nous mettrons en œuvre à partir de septembre 2023 dans la prochaine phase de groupes d'étude, de réflexion et de lecture.